Tu a encore fais quelque chose de complêtement irréfléchi...
*Tu aurais préféré que j'arrête la musique?!*
Ce n'est pas ce que j'ai dis.
Le jeune homme assez enervé parcoura une centaine de mètres dans un silence relatif.
Ce mot quand même... C'était réellement nessessaire?
*Rien à cirer*
Asagi continua rageusement à marcher, son sac pesant sur son épaule et les sangles de son étui lui cisaillant la poitrine. Il bouillait encore d'indignation après ce qu'il avait entendu. Son Esprit le suivait, marchant à grande enjambées calmes, comme à son habitude. Il savait que l'énervement du jeune homme retomberait de lui-même.
Silencieux, ils arrivèrent dans une rue plus animée, avec de nombreux commerces et chalands. La foule dense serrait de près Asagi, et déjà des mains s'attardait sur les attaches de ses seules possessions. Maxwell Intervint aussi, provoquant un mini tremblement de terre qui repoussa les curieux. Seulement, la ruelle où ils avaient été entrainée était un cul de sac, et les voleurs semblait déterminés... L'un d'entre eux brandit un rasoir, sussurant avec fiel:
"Allez petite, laisse tomber..."
Et en plus ces imbeciles le prennait pour une fille! Asagi referma ses mains sur les sangles, le corps tendu. Son Esprit fit jaillir des lianes du sol, enprisonnant provisoirement ses assaillants. Le jeune homme bondit hors de la ruelle et courut hors de portée. La masse le dissimula et il arriva en marchant tranquillement sur la place principale.
Après une brève hésitation, il s'assis contre la fontaine, la plaçant entre la rue et lui, par sécurité. Il cala son sac derrier lui, et sortit amoureusement sa basse de son étui. Il ne pouvait utiliser son ampl le plus puissant, mais il en avait un à betterie au début, et il avait pensé à l'emporter, comme quoi il réfléchissait quand même un peu... Asagi brancha son instrument, vérifia délicatement s'il était accordé, fit les rectifications nessessaires et mis une distorsion moyenne.
Après quoi, la tête légèrement penchée sur son instrument, il commença à jouer, un morceau lancinant et tenace, qui vous trottait dans la tête pendant des semaines. A ses côtés, Maxwell se balançait lentement sur la musique, les yeux clos, la terre vibrant sourdement autour d'eux.
*Tu aurais préféré que j'arrête la musique?!*
Ce n'est pas ce que j'ai dis.
Le jeune homme assez enervé parcoura une centaine de mètres dans un silence relatif.
Ce mot quand même... C'était réellement nessessaire?
*Rien à cirer*
Asagi continua rageusement à marcher, son sac pesant sur son épaule et les sangles de son étui lui cisaillant la poitrine. Il bouillait encore d'indignation après ce qu'il avait entendu. Son Esprit le suivait, marchant à grande enjambées calmes, comme à son habitude. Il savait que l'énervement du jeune homme retomberait de lui-même.
Silencieux, ils arrivèrent dans une rue plus animée, avec de nombreux commerces et chalands. La foule dense serrait de près Asagi, et déjà des mains s'attardait sur les attaches de ses seules possessions. Maxwell Intervint aussi, provoquant un mini tremblement de terre qui repoussa les curieux. Seulement, la ruelle où ils avaient été entrainée était un cul de sac, et les voleurs semblait déterminés... L'un d'entre eux brandit un rasoir, sussurant avec fiel:
"Allez petite, laisse tomber..."
Et en plus ces imbeciles le prennait pour une fille! Asagi referma ses mains sur les sangles, le corps tendu. Son Esprit fit jaillir des lianes du sol, enprisonnant provisoirement ses assaillants. Le jeune homme bondit hors de la ruelle et courut hors de portée. La masse le dissimula et il arriva en marchant tranquillement sur la place principale.
Après une brève hésitation, il s'assis contre la fontaine, la plaçant entre la rue et lui, par sécurité. Il cala son sac derrier lui, et sortit amoureusement sa basse de son étui. Il ne pouvait utiliser son ampl le plus puissant, mais il en avait un à betterie au début, et il avait pensé à l'emporter, comme quoi il réfléchissait quand même un peu... Asagi brancha son instrument, vérifia délicatement s'il était accordé, fit les rectifications nessessaires et mis une distorsion moyenne.
Après quoi, la tête légèrement penchée sur son instrument, il commença à jouer, un morceau lancinant et tenace, qui vous trottait dans la tête pendant des semaines. A ses côtés, Maxwell se balançait lentement sur la musique, les yeux clos, la terre vibrant sourdement autour d'eux.